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Si tu t’imagines
Me voyant genou en terre
Ne plus devoir craindre ma colère
C’est mal en connaître l’origine
Il n’y a plus guère d’échappatoire
Quoiqu’en disent les Moires
Seul le sang peut apaiser
Une lame du fourreau tirée
La mort n’est jamais en retard
Pour livrer un dossard..