Ainsi va du temps le sablier
Les larmes versées
Finissent par tout emporter
Le souffle des yeux clignés
Suffit à balayer puis effacer
Le quartz que l’on a foulé
Ou regardé s’égrener
La vie a ses propres marées
Des courants du passé
Nous ne sommes in fine
Que le bois flotté..