Je n’éprouve pour ce monde
Plus qu’incompréhension
Les ancestrales ondes
Ont cédé aux éphémères émotions
Une atmosphère nauséabonde
A remplacé les saisons
Mon instinct gronde
Intime à ma raison
D’abattre la nouvelle bête immonde
À défaut de notre ère prononcer la funèbre oraison.