Car on ne saurait détruire
Ce que nul ne peut traduire
Pas plus qu’on ne saurait effacer
Une calligraphie oubliée
Les sillons laissés dans le marbre
Courent telles les racines d’un arbre
Graphique charrue
Du chemin parcouru
Des portes de notre âme
À tout jamais le cryptogramme..