Car rien ne remplace
Une âme qu’on enlace
Je confie au vent ces phonèmes
Ces délicats je t’aime
Ces mots que tu sais déjà
Ce vide quand tu n’es là
Toi aussi je le sais
Ta peine tu tais
Pour ne l’ajouter à la mienne
Tradition Arthurienne
Où chevalier se damne
Par Amour pour sa Dame…