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Quand les cordes crient
À l’instrument qu’est ma vie
À l’heure où s’époumonent
Alentours les âmes aphones
Alors qu’au-devant s’agglutinent
Maux qui d’ordinaire procrastinent
Du fourreau tirer la plume
Car Espoir ne s’allume
Qu’à mesure qu’on le conte
De l’Histoire qu’on se raconte…